2021/2022. " L’écologie politique " en France, un accouchement laborieux

, par  DMigneau , popularité : 0%

2021/2022. " L’écologie politique " en France, un accouchement laborieux

Trop de politique " politicienne " et de tactique, pas assez de travail et de " vision globale " et stratégique.

Est-ce sévère ?

Une fois de plus un " pétard mouillé " s’il s’agit faire avancer la connaissance et l’appropriation des problèmes relevant de « l’écologie » et l’examen raisonné et partagé des solutions, les articulations avec les problèmes économiques, sociaux et ceux du fonctionnement d’une démocratie ?

Pour ma part, je pense que les enjeux liés à « l’écologie » sont indissolublement liés à la maîtrise politique et démocratique du pilotage d’une économie mixte permettant à des citoyens correctement informés d’arbitrer le choix des objectifs et leur mise en oeuvre.

Prenons garde à l’escroquerie qui voudrait faire croire que les problèmes écologiques par leur ampleur et urgence transcenderaient les choix de l’organisation politique des sociétés ou relèveraient essentiellement du progrès des sciences et d’une bonne utilisation des technologies.

Assistons-nous à la énième relégation - à nouveau - de la nécessité de ce travail authentiquement politique et fondamental qui aurait du être entrepris depuis longtemps par les cadres du parti entraînant du coup militants et sympathisants dans leurs querelles d’ambitions personnelles dont il restera bien peu de chose quand la poussière de la campagne électorale sera retombée.

Et le jeu recommencera à la prochaine élection et la suivante ?

A la recherche de nouveaux novices en politiques en demande de repères et travaillés d’inquiétudes légitimes, baladés par la " houle médiatique " sur laquelle navigueront probablement de nouveaux compétiteurs.

À la poursuite du maintien ou du gain éphémère de quelques mandats de témoignage.

Un peu de regret quand même pour une belle aventure humaine commencée ici dans les années 70, pleine de vie et de promesses.

Et de tant de militants et sympathisants ayant beaucoup attendu et donné, perdus en cours de route, du moins pour les aventures " politiciennes " et partisanes.

Un baume quand même, pendant ce temps les scientifiques travaillent, quelques élus loin des lumières " labourent " et " sèment ", nos concitoyens sur le terrain travaillent, expérimentent et innovent parce que la vie n’attend pas.

Et tout cela à un moment où les problèmes écologiques n’ont jamais été à la fois aussi bien perçus dans leur urgence et leur complexité que victimes de confusions malheureusement bien aidées par ces errances dont tire partie l’hypocrisie de ceux qui entendent préserver le plus longtemps possible leurs profits immédiats au prix de nuisances et de coûts supportés par le plus grand nombre et en premier lieu par les plus faibles.

Si cela ne s’appelle pas " rater le coche "... Et bégayer aussi.

Il semblerait que la leçon (interne et externe) apportée par la double expérience - candidature + poste de ministre - de Hulot n’ait pas été tirée.

Comment est-ce possible alors que l’on prétend " éclairer l’avenir " ?

Comment encore différer le travail de fond, âpre, difficile, exigeant de la construction d’un projet global aux enjeux enfin compris maintenant comme étant " redoutables " et " urgents " par nos concitoyens avec le jeu politicien de s’approprier quelques " haut-parleurs électoraux " en maintenant ainsi « l’écologie politique » dans un rôle d’éternel " outsider ", de " mouche du coche " du pilotage des structures économiques, financières, sociales et politiques qui nous ont menés dans la situation actuelle.

Certes, pas en pleine conscience ni volonté délibérée de la part des dirigeants confrontés à la reconstruction matérielle et morale des pays après la guerre et - bien sûr - ne disposant pas des connaissances ni du recul et de l’expérience actuelle.

Mais pourtant bien sourds aux avertissements nombreux et déjà anciens du monde scientifique et des pionniers de « l’écologie politique ».

Hypocrites quand ils ont crié solennellement " Au feu !! " tout en ne faisant surtout rien ou presque, préférant - mais c’est une seconde nature - les promesses apaisantes aux débats exigeants à ne surtout pas mettre à la portée de leurs concitoyens.

Mais depuis le temps, on aurait pu attendre aussi un peu plus de lucidité et de cohérence de la part de ceux engagés dans « l’écologie politique ».

Concernant « l’écologie », il y a maintenant des savoirs et des diagnostics difficilement contournables mais régulièrement " transmutés " comme par une malédiction médiatique en querelles caricaturales et clivantes servant de " jeux de pouvoirs " et d’influence pour la plupart des partis, leurs états majors et leurs " agents médiatiques ".

Déroutant nos concitoyens, les rendant inquiets, méfiants mais aussi malléables.

Contribuant à « l’abstention » tout en bénéficiant aux acteurs pré-cités à la recherche permanente de sujets et thèmes les distinguant et les faisant médiatiquement exister sur fond de délabrement d’autant plus délétère de la représentation politique que ce " petit monde " semble en minimiser la gravité et fait semblant de ne pas en voir les causes ?

Alors que le financement des partis politiques et des médias est hors de contrôle " démocratique " dans notre société, c’est à dire qu’il est sous le contrôle des leaders du « CAC 40 », détenteurs de la puissance économique et financière, la devant autant aux lois qu’ils réussissent à faire - ou ne pas faire passer ou appliquer - qu’à leurs talents propres, n’y-a-t-il pas pour « l’écologie politique » le moyen de se sortir de cette instrumentalisation ?

Est-ce une fatalité d’apparaître comme une super ONG, adepte des raids sans lendemain, volontiers " donneuse de leçons ", méconnaissant souvent le terrain " socio-économique " vécu à " hauteur d’homme ", se trompant à l’occasion de cibles et de priorités, agissant à contretemps et servant régulièrement de " rampe de lancement " à des ambitions aussi impatientes qu’éphémères ?

En jouant une fois de plus de l’ambiguïté dans un processus électoral dont les cadres du parti connaissent par cœur la mécanique dont ils savent par avance - ce faisant - qu’ils participent à retarder la reconstruction d’une gauche authentique pour les temps futurs.

Qui a besoin de toutes les bonnes volontés, réflexions, expériences et compétences structurées autour des thématiques rappelées en début d’article pour être en mesure de gouverner le pays durablement et de mettre fin dans un premier temps à « l’impasse démocratique » que sont devenus nos institutions.

Les évolutions et pratiques en découlant nous étouffent petit à petit en réduisant nos pauvres marges de manœuvre sans hésiter à violenter la démocratie si nécessaire.

Pour mémoire les résultats contournés d’un référendum en 2005 portant sur une modification de la « Constitution » par un traité international, voulue comme devant être approuvée par le suffrage universel par le fondateur de la «  ».

Amenant, par la suite, certains à l’outrecuidance de traiter de " populistes " ceux qui réclament maintenant de toute urgence de nouveaux outils au service de la démocratie.

Il est vrai que les prédécesseurs de nos candidats d’aujourd’hui - Jadot était déjà présent dans " la boucle " en préconisant le " oui " - avaient participé un peu piteusement à l’opération " zappons le référendum " contre l’avis de leurs adhérents et sympathisants de l’époque, comptant sur " le temps qui passe et la mémoire qui flanche " pour apparaître par après comme " les chantres " d’un avenir qui ne peut se faire bien entendu sans eux.

Tout se pardonne à qui reconnaît ses erreurs.

Avec beaucoup de discernement si on n’a pas une vocation de victime éternelle.

Faut-il évoquer aussi plus récemment la clairvoyance des cadres du parti devant la protestation des " Gilets jaunes " ?

« Pour engager des transformations politiques d’envergures, les citoyens ont besoin de responsables politiques courageux, qui ont eux-mêmes besoin de citoyens par millions pour les soutenir…

Mais ces alliances " élus-citoyens " ne peuvent " tomber du ciel ". Je ne peux imaginer que des millions de personnes se mobiliseront pour contraindre leurs gouvernements à mettre en place une politique " zéro-déchets ", la réorientation des subventions agricoles vers le " bio ", si elles ne sont pas un minimum impliquées dans leur propre quotidien.

Je n’imagine pas non plus que des leaders politiques d’un genre nouveau émergent s’ils ne sont portés par des mouvements sociaux. Les deux stratégies - " agir au quotidien " et " politiquement " - ne peuvent être dissociés à moyen et long terme »

(" Petit manuel de résistance contemporaine " p. 41, Cyril Dion, " Domaine du possible ", Actes Sud 2018).

Pour l’heure - désolé - il me semble que ce serait très mal parti s’il fallait encore se faire prendre dans les filets de nos " rabatteurs du jour " en oubliant ce qui s’est passé en 2017.

La tristesse passée et l’amertume avalée, pensons que ce ne sont que des péripéties qui occuperont toute l’attention des médias et que ceux qui s’y prêtent, pour le coup finiront par disparaître de nos mémoires et peut-être - plus tard - voudront bien travailler à " l’œuvre commune " là où leurs compétences leur apporteront un juste sentiment d’utilité sociale.

Ne nous laissons ni distraire ni ébranler. Cela dépend de nous, de notre réflexion et de notre lucidité à ne pas être une fois de plus " les alouettes " de ce qui peut être - si nous le voulons résolument - la dernière élection de ce type dans cette forme.

Ne perdons pas de vue non plus que cette élection est de fait la seule élection européenne qui contienne un peu " d’énergie démocratique " puisque que nous y élisons « l’exécutif » du pays mais aussi « l’exécutif » qui siégera en notre nom dans l’instance législative européenne qui cumule de manière exclusive pouvoir « exécutif » et « législatif » sous la tutelle de la « Commission ».

Tandis que les parlementaires (scrutin à un tour de listes bloquées à la discrétion des partis) démunis de l’initiative « législative » de fait commentent et valident peu ou prou ce qui leur est présenté pour l’essentiel comme " incontournable ".

Soyons juste, ils rédigent aussi beaucoup de rapports. Il arrive qu’ils gagnent un combat, durablement - espérons-le - et aussi qu’ils mettent fin à ce qu’ils avaient d’abord laissé passer comme le financement par l’UE de la flotte de pêche " électrique " des Pays-Bas que nous avons payé.

Cette élection est aussi celle de la possibilité d’une alternative aux « politiques publiques » dont le contenu et le cadre sont déjà prévus par « l’Union Européenne » - " covid " ou pas - qui oblige surtout à en modifier la présentation et les " éléments de langage ".

Décidés par un pouvoir oligarchique supranational - comment l’appeler autrement ? - que nous avons refusé en 2005 et qui se cache derrière la « Commission », la BCE et la " Cour de Justice " de « l’Union Européenne ».

Nous laissant quelques degrés de liberté juridique et accommodements locaux circonstanciels. Et nous installant en tant que " citoyens " en constants décalages avec ce qui se décide concernant la vie économique et sociale du pays.

Vaut-il mieux avoir le sentiment de participer et choisir " en famille " entre le candidat Jadot, un peu " caméléon ", recommandé par Cohn Bendit, qui - sans illusion - semble surtout préparer son avenir pour l’étape d’après et la candidate Rousseau qui apporte un catalogue impressionnant de propositions pertinentes, partagées d’ores et déjà au-delà du parti, dont on voit la nécessité de l’ancrage dans un vaste rassemblement politique et populaire pour pouvoir être pris en compte.

Et se retrouver ensuite dès le premier tour achevé impuissant à observer à loisir deux champions concourant pour la préservation de la chimère " libéralisme/néo-libéralisme /social libéralisme " se chamaillant en masquant leur accord sur le fond.

Pour, une fois « au pouvoir », faire en sorte que ce qu’il faudra bien concéder aux attentes et nécessités de « l’écologie » ne remette en cause dans la redistribution des richesses produites et le fonctionnement des institutions ni la part et la puissance des " grands actionnaires ", ni leurs capacités d’influence décisive sur la société.

Ou alors vaut-il mieux participer à la reconstruction d’une gauche authentique et durable parce qu’effectivement nous avons besoin selon les mots mêmes de Sandrine Rousseau d’une " radicalité écologique et sociale ".

Ne nous y trompons pas, derrière la compétition des personnes et des mouvements et la multiplicité des candidatures, il y a pour la plupart des candidats un consensus implicite qui est de préserver et de renforcer si possible les rapports de force socio-économiques actuels.

Ce qui ne doit - bien entendu - pas être dit ni surtout compris par le plus grand nombre. Certaines " élites ", en même temps, sont tellement confiantes qu’elles n’hésitent plus à passer d’un parti à l’autre en se ménageant des passages aux postes de direction des " poids lourds " de l’économie, dans les institutions " socio-économiques " et les ONG.

Difficile de ne pas voir que pour quelques-uns « l’écologie politique » ne soit devenue une aventure et un " passeport ".

Laissons tomber les faux-semblants. Nous sommes à l’aube de l’élection centrale de nos institutions.

Aujourd’hui comme hier, LFI n’est pas la solution mais fait partie de la solution. En l’absence de soutien suffisant à son égard au premier tour sera scellée la perpétuation d’une situation qui nous enfonce depuis 4 mandats maintenant.

Avec son expérience politique, la synergie des générations présentes, son potentiel, ses capacités de mobilisation, le travail effectué sur tous les champs dont « l’écologie », elle représente un véritable danger pour " l’establishment " politique et les vrais " maîtres du jeu " que sont les puissances économiques et financières qui ne sont pas des monstres imbattables mais des êtres humains comme chacun d’entre nous.

Soumises à la volonté générale quand celle-ci prend conscience d’elle-même et s’exprime à travers l’intelligence collective qui donnera sa pleine mesure dans une démocratie authentique, forte et maîtrisée.

À construire et défendre sans ne jamais plus " baisser la garde ".

Aucune illusion ni naïveté à avoir.

Par le cercle des dernières puissances citées, le cercle des médias qu’elles contrôlent, le cercle des élus et de la " haute administration " sur les carrières desquels elles pèsent, un véritable " cordon sanitaire " anti-démocratique a été mis en place pour disqualifier LFI, notamment par l’attaque de la personne de JLM mais à l’affût aussi de tout événement à exploiter.

Il y a là un bel exercice de manipulation récurrent réconciliant " le loup et l’agneau " comme par miracle.

La surprenante, tenace et soudaine unanimité de musiciens d’ordinaire concurrents devrait nous mettre " la puce à l’oreille ". De même que le niveau sonore des " tambours médiatiques " et la durée exceptionnelle de leurs résonnances.

Parce que bien plus redoutable que le mouvement en soi, ce sont le travail de réflexion et de propositions politiques dont s’emparent nos concitoyens, la montée en puissance d’une aspiration démocratique, la volonté d’être pris au sérieux et respectés, d’être sérieusement informés qu’elles redoutent et dont elles savent très bien que c’est " le début de la fin " de leurs pouvoirs occultes et pratiques politiques à l’abri du brouillage généré par les médias.

A nous, en toute liberté de conscience et autonomie, non démunis ni résignés devant la triste mécanique du scrutin que nous subissons de nous affranchir de la comédie des états majors politiques et des mises en scène des médias.

À nous de garder raison et sang-froid en toutes circonstances - il va en falloir ! - pour connaître un second tour décisif permettant un réel choix nous sortant de notre impuissance de citoyens et le pays de l’ornière où l’ont mené ceux qui s’affichent les " réformateurs " du jour en n’osant même pas décliner leurs bilans et responsabilités respectifs .

C’est bien au premier tour que l’on gagne en votant non pour le candidat " de son cœur " mais le mieux placé qui propose une véritable alternative afin de permettre à une coalition de gauche authentique de prendre ses responsabilités en commençant par une réforme en profondeur de nos institutions pour que plus jamais quelqu’un que nous avons élu puisse se retourner contre nous et faire une politique à nos dépens.

Vous serez d’accord, il faut d’urgence régler ce problème une fois pour toute.

Ce petit jeu ne durera plus longtemps parce que ceux qui sont habitués ou à la merci de " fins de mois " difficiles, à l’insécurité et l’humiliation sociale, à la relégation culturelle loin des bénéfices de la " formation initiale " et " continue " - pour eux et leurs enfants, ceux qui connaissent les combats portés et gagnés et à quel prix au présent et dans l’Histoire et savent comparer, les militants " de cœur " et " de raison " abusés mais non résignés, ceux qui pensent que l’équité sociale est le moyen et l’objectif central d’une authentique démocratie, ceux qui n’ont pas encore renoncé à une république de citoyens éclairés et responsables ni à la place de notre pays et de notre culture dans l’Histoire du monde, ne sont plus dupes de ces jeux bien vivaces de politiciens déterminés à se maintenir " envers et contre tout " et de se passer la main " d’une génération à l’autre ".

Encore et encore.

Prenons garde aussi de stopper de toute urgence l’entreprise de " dévitalisation " de la grande institution qu’est le service public de « l’Education Nationale » qui permet l’acquisition individuelle et collective des savoirs, la maîtrise de leurs usages, la possibilité d’une autonomie intellectuelle et l’existence de dynamiques personnelles et sociales qui revitalisent en permanence nos sociétés dans le mouvement des générations.

Ce danger est mortel pour la vie d’une démocratie.

Plus de temps à perdre !! Tournons la page, nous avons tant à faire.

Repères : Quelques éléments déjà postés en commentaires précédemment

Il suffît de 20 à 22 % de voix pour se trouver au second tour avec le " RN " ou un substitut engendré par les circonstances, déguisés en " repoussoir " et servant " d’assurance-vie " au système.

Je n’invente rien, nous avons déjà été piégés 2 fois.

10 à 12 % de voix " indécises " qui se dispersent au premier tour grâce aux candidatures multiples suffit à faire fonctionner ce système.

Dans ce contexte, s’abstenir au 1er tour est aussi, souvent à son insu, un bon moyen d’aider la charnière « droite » et « extrême droite ».

D’où l’importance - si on veut pouvoir se faire entendre au second tour - d’éviter la dispersion des voix au 1er tour au besoin en oubliant le candidat " de cœur " naturel ou les fidélités nostalgiques qui nous ont fait perdre la dernière fois.

Détourner des voix à gauche, un petit nombre suffit pour mathématiquement faire la " courte échelle " à la charnière « droite / extrême- droite » au second tour.

Faut-il encore préciser que ce qui se cache actuellement sous les termes " social-démocratie " et " social-libéralisme ", se faisant élire sur des promesses et attentes de gauche et menant des politiques de droite, est justement là pour ça et grappiller aussi " dans la foulée " quelques mandats ou " parachutes " confortables ?

Et c’est gagné, l’avatar du moment de la préservation des fondamentaux du « libéralisme » versus " néo-libéralisme " versus " social libéralisme " versus éléments de langage de campagne électorale sera servi.

Et si - oh miracle !! - cela marcherait, cette fois-ci, pour la nébuleuse « d’extrême-droite » au second tour, ce serait un peu dérangeant pour quelques carrières. Cela tanguerait un peu " à l’italienne ". Il y aurait de l’instabilité mais au bout du compte l’essentiel serait préservé comme on a pu déjà le voir là bas.

Octave LEBEL

AgoraVox.fr