Coronavirus - " Pfizer ", c’est l’exact contraire d’un vaccin

, par  DMigneau , popularité : 0%

Coronavirus - " Pfizer ", c’est l’exact contraire d’un vaccin

Préliminaire : Si Macron voulait notre bien, s’il voulait améliorer la santé publique, il ne continuerait pas aujourd’hui-même à supprimer des lits d’hôpitaux.

Un vaccin, c’est quoi ?

On injecte dans le corps une substance, un virus inactivé ou atténué, que le corps va reconnaître comme étant " étranger " afin qu’il puisse ainsi s’entraîner à le combattre.

Avec " Pfizer " ou " Moderna ", on introduit dans le corps une substance déguisée de façon à ce que le corps ne puisse pas la reconnaitre comme " étrangère ".

L’ARN de la protéine " spike " du " coronavirus " est - en effet - camouflé dans des nanoparticules lipidiques et le corps va prendre ça pour des petites " boules de graisse " inoffensives.

" Pfizer " n’est pas un vaccin, c’est le contraire d’un vaccin.

" Pfizer " camoufle l’ARN qui code pour la protéine " spike " du " coronavirus " afin que les défenses immunitaires du corps ne le détruise pas immédiatement. Cet ARN va ensuite pousser les cellules du corps à synthétiser la protéine " spike ".

Ensuite, le corps va pouvoir s’entrainer à combattre la protéine " spike " du " coronavirus " et donc le " coronavirus " lui-même.

C’est ça, l’idée de " Pfizer ".

L’inconvénient, c’est que l’ARN de " Pfizer " peut très bien se transformer en ADN grâce à une enzime souvent présente dans le corps : la " Transcriptase inverse " qu’on a déjà appris à connaître à cause du SIDA (*).

" Transcriptase inverse " qu’on rencontre aussi dans les " spumavirus " qui sont totalement inoffensifs chez l’homme. Donc, on ne peut pas savoir comme ça si l’on a - ou pas - des " spumavirus " ainsi que leur " transcriptase inverse ". Et il existe aussi une autre enzime - " l’intégrase " - qui permettra à l’ADN de la " spike " de s’intégrer dans l’ADN de celui qui reçoit " Pfizer " (**).

Ce ne sera bien sûr pas souvent le cas ; mais, si le vacciné a la malchance que l’ARN de la " spike " s’intègre à son génome, toutes les cellules de son corps vont se mettre à produire tout plein de " spike " jusqu’à la fin de sa vie.

Le problème, c’est qu’il a été prouvé que la protéine " spike " suffisait à elle seule pour provoquer les symptômes du " covid ". Donc, si le vacciné n’a pas de chance, il aura trop de protéine " spike " en permanence en lui pour pouvoir s’en défendre.

C’est le vaccin qui lui aura alors donné le " covid ".

" Thérapie génique "

Le vaccin " Pfizer ", c’est en pratique de la thérapie génique appliquée à des gens qui ne sont pas malades. Une thérapie doit être donnée à des malades, pas à des gens sains.

Prenons un exemple, pour soigner un malade du cancer, une thérapie possible consiste à lui faire " des rayons ", c’est-à-dire à envoyer de la radioactivité sur ses cellules cancéreuses pour les tuer. Mais, la radioactivité peut elle-même provoquer le cancer.

Donc, les " rayons " destinés à soigner le cancer peuvent à leur tour entrainer ce qu’on appelle un " cancer induit ".

Cependant, quand on a un cancer et qu’on va mourir, le risque d’attraper un cancer induit par le médicament destiné à soigner est largement acceptable.

MAIS, quand on n’est pas malade, va-t-on accepter de courir le risque de recevoir des " rayons " ?

Bien sûr que non !

C’est pourtant le genre de risque que l’on prend quand on accepte de se faire injecter le faux-vaccin " Pfizer ". " Pfizer ", c’est de la thérapie génique imposée à des gens qui ne sont pas malades.

Pourquoi Macron nous impose-t-il cela ?

Parce qu’il a fait fortune grâce à " Pfizer ". À l’époque où il travaillait pour Rothschild, il a fait une seule grosse opération financière. Elle concernait " Pfizer " et elle lui a rapporté des millions d’euros.

Il est donc redevable à " Pfizer " :

https://mai68.org/spip2/spip.php?article9374

Bien à vous,

DO

Source : http://mai68.org/spip
/spip.php++cs_INTERRO++article9546

Le Grand Soir.fr

Notes :

(*) Le SIDA est provoqué par le virus HIV qui est en fait un " rétrovirus ", donc un virus ARN muni de la " transcriptase inverse " et de " l’intégrase ".

(**) Il est courant que le codage génétique d’un virus s’intègre à notre code génétique. On sait maintenant que 8 % de notre ADN provient de virus dont on a intégré le code génétique.

Par exemple, la possibilité pour les femmes de " tomber enceinte " provient de l’intégration du code génétique d’un virus par les mammifères - un " rétrovirus " en fait, comme le HIV - qui a permis à leur système immunitaire de ne pas reconnaître, pendant la gestation, le foetus comme un corps étranger à combattre.

Notez bien une chose : Si Macron voulait notre bien, s’il voulait améliorer la santé publique, il ne continuerait pas aujourd’hui-même à supprimer des lits d’hôpitaux.